La vie est parfois remplie de surprises. Cette Black est certainement la plus belle femme que j’ai eue dans mon lit, et notre histoire, notre rencontre, est assez surprenante. Dès la première fois que je l’ai croisée dans les transports en commun, mon regard ne pouvait plus s’en détacher. Ma première réflexion a été tout de suite de me dire : "Quelle beauté, mon Dieu, son mari a une chance inouïe d’avoir une aussi belle femme dans son lit."
Elle était toujours habillée de façon très élégante, toujours en robe ou jupe, avec des talons et un maquillage parfait. Chaque tenue la mettait en valeur, très sexy sans une pointe de vulgarité. Nos rencontres n’étaient pas régulières, c’était le hasard qui décidait de nos retrouvailles dans le train. Elle ne faisait pas très attention à ma présence, ce qui ne m’a jamais donné l’occasion de l’aborder. Je me contentais d’admirer sa beauté.
Mais un jour, une connaissance commune me l’a présentée sur le quai, mais la discussion est restée éphémère. Le lendemain, je la croise de nouveau sans qu’elle poursuive la petite présentation de la veille. Je me dis qu’elle n’est pas du tout intéressée par moi. Les semaines passent et je ne la croise plus, je la perds de vue pendant au moins deux ans.
Comme à mon habitude, je monte dans le train pour rentrer chez moi. Comme nous tous, je suis robotisé, je m’assois sans observer mon environnement et je plonge dans mon téléphone. À peine assis, quelqu’un me tape sur l’épaule derrière moi. Je me retourne et qui vois-je ? Oui, je ne rêve pas, c’est elle. Je suis sans voix, elle est toujours aussi belle.
Elle me demande : "Vous n’êtes pas le cousin de Fred ?"
— "Non, pas du tout, mais on se connaît, enfin, on se croisait dans le train et nous avons été présentés une fois par une connaissance en commun", lui réponds-je.
Bizarrement, elle ne se souvient pas du tout de cet épisode ni même de moi. Mais ce n’est pas grave, maintenant qu’elle est devant moi, je ne laisse pas passer cette opportunité. Nous faisons le voyage ensemble, et cette petite heure de train me donne l’occasion de poser un prénom sur cette beauté noire. L’échange est courtois. Je connais ses habitudes de voyageuse, ses horaires. J’en fais de même.
On se quitte sans s’échanger nos téléphones, mais avec les informations que j’ai, je sais que je vais la revoir. Le lendemain, je me place dans le même train à un endroit visible. Nous sommes en décembre et, avec le reflet sur les vitres, elle ne me voit pas et prend le train suivant, car la veille je lui avais dit que parfois je prenais le train suivant quand je loupais celui-ci.
Je ne la suis pas, je laisse le désir et l’envie de me revoir grandir. Elle me cherche. Je sais qu’à ce moment-là, je vais coucher avec elle. Je me souviens encore de la tenue qu’elle portait ce jour là.
Par la suite, nous faisons les voyages ensemble jusqu’aux vacances de Noël sans toutefois échanger nos téléphones. Les vacances passent, puis nous nous retrouvons, les téléphones s’échangent, la confiance s’installe, et les confidences arrivent.
Je suis abasourdi par ce qu’elle me raconte sur son intimité. Son mari ne lui fait l’amour qu’une à deux fois par an. C’est un bande-mou et précoce, et il est de principe que c’est l’homme qui fait l’amour à une femme. Elle doit se mettre sur le ventre, lui au-dessus. Elle est baisée comme un cadavre et tout au plus deux fois dans l’année. Vu sa beauté, je pensais qu’il la baisait limite chaque jour.
Cela fait dix ans qu’elle n’a pas fait une pipe, dix ans qu’elle ne s’est pas fait bouffer la chatte. Elle ne connaît pas l’anulingus ni la sodomie. C’est un désert sexuel total. Elle accepte mes avances, je sens qu’elle a soif de sexe, envie de découvrir. La bombe est prête à exploser, elle va se lâcher comme jamais. Elle veut tout découvrir.
Pour notre première fois, nous sommes à l’arrière de sa voiture. Ma main rencontre une chatte trempée, mon doigt rentre comme dans du beurre. Ma queue est raide, toute dure. Sa première pipe depuis dix ans est plus que convenable. Mais le plus important, c’est l’envie que je ressens : elle prend un pied fou d’avoir une queue dans la bouche, elle suce encore et encore.
Puis arrive l’hôtel. Je découvre un corps magnifique, elle est splendide. Je lui fais son premier cunnilingus depuis dix ans et je lui fais découvrir son premier anulingus. Je lui bouffe véritablement le cul, elle adore, elle prend un pied fou. Je la prends dans toutes les positions, mais la levrette reste une merveille devant ce cul.
Il est temps de lui faire découvrir la sodomie. Elle est serrée, mais j’y vais avec la plus grande délicatesse. Ça y est, ma queue est dans son cul. Je suis délicat, puis son anus commence à être de plus en plus détendu et ouvert. Ça glisse tout seul, je sens qu’elle en veut plus, mes coups de reins sont de plus en plus forts, plus profonds, elle adore. Je la démonte, elle jouit comme jamais.
C’est une révélation pour elle, la sodomie, la jouissance a été telle qu’elle en tremble encore. En six mois, je la baise plus que son mari en vingt ans de mariage. Elle passe d’une sexualité quasi inexistante et inexpérimentée à une grosse chienne. Elle me fait des pipes magistrales avec un toucher rectal, elle me lèche le cul, je lui éjacule dans la bouche, je lui fais découvrir le plug ainsi que des doubles pénétrations avec des sextoys, bref, c’est devenu une vraie chienne salope.
Puis un jour, j’aborde le libertinage avec une femme, un couple, et pourquoi pas un homme pour des trios et quatuors. Je lui parle de club libertin. Elle est curieuse, elle prétexte un week-end chez sa fille sur Paris et à cette dernière, une soirée entre copines.
Nous voilà en club libertin sur Paris. Pour une première, le contrat, c’est de mater. Je sens qu’à travers cette ambiance, le désir monte. En deux-trois mouvements, elle se retrouve à me faire une pipe devant quelques jolis couples voyeurs. Puis je l’installe assise sur une sorte d’estrade, elle écarte ses cuisses et je n’ai aucun mal à rentrer dans sa chatte trempée.
Je la baise devant deux ou trois mâles en admiration devant sa beauté. Ils auraient bien voulu être à ma place, mais on respecte le contrat.
Nous allons être amants pendant cinq ans.